Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« 2009-02 | Page d'accueil | 2009-04 »

25 mars 2009

Julien Ribot à Lausanne!

Ribot_cPostale_01_Page_1.jpg
texte ribot expo.jpg

14:45 Publié dans Pendant ce temps, en ville… | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Exposition fabula graphica 1

Un cycle d’expositions intitulé « Fabula Graphica » réunira sur trois ans un vingtaine d’artistes dans les Galeries d’exposition de l’Aître Saint-Maclou , ERBA de Rouen. Premier volet du 9 avril au 6 mai 2009. Avec, entre autres, Marcel Miracle.

Fabula-2.jpg

cliquer sur l'image pour l'afficher en grand

Fabula-1.jpg

cliquer sur l'image pour l'afficher en grand

20 mars 2009

Notre hôtesse business class

zaric-chapelle-3.jpg

16:08 Publié dans expositions | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

19 mars 2009

Prix Schiller à Pascale Kramer

Pascale Kramer remporte un des quatre Prix Schiller 2009. Elle est distinguée pour son roman «L'Implacable brutalité du réveil» qui traite de la détresse d'une jeune femme n'assumant pas son rôle de jeune mère. (ATS). On est super contents et on félicite la lauréate (en rappelant, en toute modestie, que Pascale Kramer a publié chez nous une courte nouvelle...)

18:54 Publié dans A propos des artistes | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Philippe Lipcare à propos de Stéphane Zaech

Image 1.png
Cliquer ici pour lire l'article

16:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Christian Désagulier à propos de «Sans un je» de Julia Sørensen

desagulier-sorensen.jpg

in: « CCP, Cahier critique de poésie» No 17, mars 2009.

15:33 Publié dans Dans la presse | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : julia sørensen | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

13 mars 2009

Marco Danesi à propos des «Visions de Van»

L’artiste vaudois expose les Visions de Van. Suite, en 56 toiles, d’un homme et une femme enlacés pour l’amour de la peinture.

LE TEMPS,  jeudi 12 mars 2009

Stéphane Zaech parade au CentrePasquArt de Bienne. Ses «freaks», cousins des monstres du film de Tod Browning, font leur cirque. Cinquante-six toiles en enfilade ressassent l’étreinte impossible entre le peintre et son modèle. Modèle à double tranchant: le sujet que l’on représente et l’original que l’on évoque. Car les maîtres de la peinture occidentale et la muse qui réclame son portrait hantent les tableaux de l’artiste vaudois, né en 1966 qui vit et travaille entre Montreux et Villeneuve.

Les Visions de Van trahissent ce combat. Van comme Van Gogh ou Van Eyck. Ou V comme Velazquez. Van indique encore l’appartenance tout autant que l’éloignement. C’est dans ce «de» que tout se joue. Il montre et trompe en même temps. Alors Stéphane Zaech s’acharne, comme sur un bon morceau de viande, à figurer un homme et une femme, enlacés à se faire mal, tandis qu’il convoque la mémoire de l’histoire de l’art fatalement boursouflée par la passion, les tensions.

La lutte donne des anatomies dyslexiques. On est loin du sérieux studieux et scientifique. Ici c’est Picasso, Gargantua et Obélix. Tous ensemble. Le haut et le bas, l’académique et le carnaval, le classique et l’écervelé. La faim de la chair féconde la touche grasse. C’est-à-dire qu’elle a la saveur et l’épaisseur des corps. Et plus on met de l’énergie à traquer les nœuds de membres, d’expressions, de texture, plus la jouissance semble improbable. L’homme et la femme multiplient les poses, en vain. Pourtant Stéphane Zaech renouvelle les assauts. Varie les angles et les approches dans une histoire sans fin. Qui finit en hallucination. La peinture en sort triomphante au moment même où elle découvre son infidélité au sujet et à l’histoire de l’art, au regard et au souvenir.


A la fin, les visions fantastiques de Van ouvrent les vannes de l’inspiration. Le regard peut se tourner vers d’autres œuvres qui leur font face. Des totems féminins plantés dans des paysages gastriques, pulsant, dévorant. A en perdre les yeux et la tête avant d’échapper à l’ivresse bestiale grâce aux travaux de trois artistes convoqués par Stéphane Zaech en contrepoint. Elisabeth Llach avec ses personnages exsangues. Virginie Morillo qui dessine d’inquiétantes silhouettes. Et les paysages à la fois photographiques et impressionnistes de Michael Ash­croft.

Stéphane Zaech, Visions de Van avec la participation de Michael Ashcroft, Elisabeth Llach et Virginie Morillo. CentrePasquArt,
faubourg du Lac 71-73, Bienne.
Jusqu’au 29 mars 2009.

17:07 Publié dans Dans la presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

01 mars 2009

art&fiction au salon du livre de Paris

art&fiction sera représenté au salon du livre de Paris, du 13 au 18 Mars 2009 - Porte de Versailles / Pavillon 1, sur le stand du Cercle de la librairie et de l'édition Genève, STAND T67.

11:30 Publié dans expositions | Lien permanent | Commentaires (1) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

art&fiction au salon du livre de Paris

art&fiction sera représenté au salon duu livre de Paris, du 13 au 18 Mars 2009 - Porte de Versailles / Pavillon 1, sur le stand du Cercle de la librairie et de l'édition Genève, STAND T67.

11:27 Publié dans expositions | Lien permanent | Commentaires (0) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook