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25 septembre 2008

Alexandre Friederich et Pascale Favre sur RSR1

Alexandre Friederich et Pascale Favre sont les invités de l'émission de la Radio Suisse Romande la 1ère "Devine qui vient dîner ce soir" au programme ce jeudi 25 septembre entre 20h00 et 21h00 pour Histoire de ma montre Casio aux éditions art&fiction.

 

Philosophe, voyageur, "afficheur sauvage", Alexandre Friederich est surtout écrivain.

Une de ses pièces a reçu cette année le prix à l'écriture théâtrale de la Société suisse des auteurs.

"A 18 ans je me suis dit: écrire, ça doit être facile". 20 ans plus tard, Alexandre Friederich s'estime encore aux balbutiements de son art: "Sur mes 30 livres, 28 sont ratés. Mais je ne perds pas espoir".

N'empêche. Plusieurs prix, une bourse d'écriture cantonale et, en mai dernier, le prix à l'écriture théâtrale de la Société suisse des auteurs pour sa pièce "Colline des potiers hippies".

Des romans, des textes "inclassables" et beaucoup de théâtre. Son théâtre, "une drôle de chose, qui prend le lecteur à revers, déplace les règles de notre société de manière ludique pour mieux en dénoncer l'absurdité" [Journal de La Comédie].

International, punk et pluriel

A l'origine de plusieurs de ses démarches artistiques, l'écrivain se définit comme "un anarchiste, sans forcément être de gauche". Fils d'ambassadeur, il a vécu une vingtaine d'années à l'étranger avant de revenir à Genève pour étudier la philosophie.

A signaler encore parmi les multiples activités de cet artiste toutche-à-tout: un tour du monde, une entreprise d'affichage "sauvage" (Affichage Vert), un groupe punk (Brukt), le collectif G3-art marchand. Objectif: "acquérir une notoriété maximale et dire que nous n'avions rien à vendre" [Le Courrier, avril 2004].

Son invitée

Dans Histoire de ma montre Casio, Alexandre Friedrich et Pascale Favre ont reconstitué par l'écrit et par le dessin les péripéties de cette montre (Casio G-Schock DW-5900) aujourd'hui oubliée de tous et évoqué quelques-unes des aventures que peut provoquer un objet de haute technologie et de petite taille.

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09 septembre 2008

Anne Pitteloud à propos de «Histoire de ma montre casio»

LE COURRIER du 26 septembre 2008

 

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19 août 2008

Makar en librairie...

Makar pris de doute fait partie de la sélection des ouvrages conseillés par Emmanuel Favre, libraire chez Sauramps à Montpellier.

 

Makar pris de doute

En 1929, Tchevengour, le chef-d’oeuvre d’Andreï Platonov est refusé – Gorki reprochant au jeune auteur «son anarchisme congénital.» Publié la même année en revue, Makar pris de doute n’arrangea pas ses affaires.
La lecture de ce conte satirique, où un brave paysan cherchant à faire le bien se heurte au pouvoir bureaucratique, devait en effet susciter de Staline un laconique «salopard». On devine la suite. Platonov mourut aussi miséreux que ses personnages.
L’artiste suisse Alexandre Loye a entièrement retranscrit la nouvelle sous forme manuscrite et l’a accompagnée de dessins. La corrélation entre les deux univers saute immédiatement aux yeux – le caractère naïf des dessins de Loye faisant ressortir la profonde humanité de l’écrivain russe.
Un objet insolite et une belle curiosité.

Makar pris de doute
Platonov, Andreï Platonovitch
Epelboin, Annie
Loye, Alexandre
Editions art&fiction
()
Paru le 10/12/2007
24.00 euros

Les tribulations intellectuelles du paysan Makar Ganouninitch au coeur de l'URSS. A la recherche du prolétariat, Makar passe de villages en asiles, sans jamais trouver les bâtisseurs du socialisme. Récit publié dans le numéro 9 de la revue«Oktiabr»en 1929.

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07 avril 2008

A propos de sans un je

Mélanie Blanc à propos de sans un je de Julia Sørensen et de la présentation de la collection Mô.

LE MATIN du 5 avril 2008, repris sur le Matin-online

 

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31 mars 2008

Isabelle Rüf à propos d'Un énorme exercice

Isabelle Rüf à propos d'Un énorme exercice de Tito Honegger et Jacques Jouet.

LE TEMPS du 29 mars 2008

[Cliquer ici pour afficher l'article en plus grand]

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Interview d'Alexandre Loye

Cliquez ici pour télécharger le MP3




27 mars 2008, RSR2.

Dare-Dare, Notes de lecture par Marlène Métrailler

Invité: Alexandre Loye, à propos de l’édition très particulière de Makar pris de doute, paru chez art&fiction. Alexandre Loye a copié et illustré ce texte traduit du russe et signé Andrei Platonov.

 

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25 février 2008

Isabelle Rüf à propos de Makar

LE TEMPS du 23 février 2008

 

A la recherche du prolétariat

Un jeune peintre redonne une nouvelle jeunesse à «Makar pris de doute», une fable drôle et mélancolique d'Andreï Platonov, publiée en 1929 dans la revue «Octobre».

Titre: Makar pris de doute
Auteur: Andreï Platonov
Editeur: art& iction
Autres informations: Lu et dessiné par Alexandre Loye.
Trad. d'Annie Epelboin

Ce livre est la rencontre heureuse entre un jeune peintre et un vieux texte à la jeunesse intacte. En 1929, Platonov, qui a 30 ans, publie Makar pris de doute dans la revue Octobre. C'est une fable tendre, ironique, terriblement mélancolique aussi, en regard de la suite des événements. Staline n'apprécie pas du tout l'humour de Platonov: l'écrivain sera pratiquement réduit au silence jusqu'à sa mort en 1951. Des décennies plus tard, Alexandre Loye découvre «que les personnages de Platonov ressemblent à ceux qui peuplent [ses] peintures» et recopie mot à mot l'histoire de Makar. C'est dans sa graphie et avec ses dessins que les Editions art & fiction la publient en grand format, à 250 exemplaires (il y a aussi un tirage de tête). C'est un enchantement.

Makar est un camarade du soldat Schveik et de la paysanne pugnace qui, dans La Ligne générale d'Eisenstein, monte à Moscou arracher aux bureaucrates de quoi faire marcher son tracteur. Paysan «normal», Makar a «la tête vide et les mains intelligentes». Contraint de quitter son village à la suite d'un conflit avec Tchoumovoï, archétype du fonctionnaire borné, Makar monte à Moscou. Dans le train, comme ses mains sont au repos, sa grosse tête creuse se remplit et se met à penser. Il pense beaucoup, et bien, il a plein de bonnes idées, ce qui ne lui vaut que des ennuis. Un fort sentiment de compassion l'étreint au spectacle des masses laborieuses. Le doute le saisit: tout cet effort est-il justifié?

Lui-même cherche un petit boulot, un désir qui se heurte à chaque étape aux chicanes de l'Etat. On ne le maltraite pas: en tant que représentant du peuple, Makar est intouchable, mais toutes ses tentatives d'améliorer le monde s'échouent contre ce mastodonte, la bureaucratie. Il part alors à la recherche du prolétariat. On lui en indique l'adresse: le prolétariat habite dans un asile de nuit. C'est un progrès: avant la Révolution, il dormait «allongé à même la surface du globe terrestre». Le soir venu, Makar tente de convaincre les prolétaires fatigués de la justesse de ses inventions, mais la voix du peuple lui répond: «Mets donc de l'âme à l'ouvrage puisque t'es un inventeur.» De l'âme, voilà ce que veut le prolétariat.

«Que dois-je faire dans la vie pour être nécessaire aux autres et à moi-même?» se demande Makar en rêve. Au réveil, quand tous les ouvriers sont partis au travail, il rencontre un prolétaire grêlé qui lui dit: «Des prolétaires qui travaillent, il y en a beaucoup, mais bien peu qui pensent. Alors j'ai pris la décision de penser pour tous.» Makar suit ce Piotr, un individu très pragmatique. Ils aboutissent à «l'asile mental» où, bien nourris, ils lisent aux fous les écrits de Lénine: «Le socialisme doit être construit par les mains des masses et non avec les paperasseries scribouillardes des administrations.» Les compères décident de penser l'Etat en accord avec Lénine. Au sommet, ils sont bien accueillis car on s'y ennuie de «l'esprit réel de la base» et on leur remet «le pouvoir en mains».

Ils s'installent et reçoivent le pauvre peuple. Ces deux-là pensent avec tant de simplicité qu'au bout de peu de temps «même les plus déshérités pouvaient en faire autant et prendre les mêmes décisions». Une commission est préposée à la liquidation de l'Etat, devenu inutile. Et Tchoumovoï, monté à Moscou? «Il travailla quarante-quatre ans dans cette [commission], puis mourut dans l'indifférence...»

Makar pris de doute a été publié une première fois par L'Age d'Homme en 1972, dans une traduction de Lucile Nivat. La drôle de démarche d'Alexandre Loye, avec ses petits dessins qui ont une vraie parenté avec l'âme de Makar, donne une nouvelle jeunesse à ce texte enchanteur.

Isabelle Rüf, Samedi 23 février 2008

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11 janvier 2008

Françoise Jaunin à propos de «Makar pris de doute»

24 heures du 11 janvier 2008

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02 décembre 2007

Isabelle Rüf à propos de Sur les traces de Segantini…

Le Temps du 1 et 2 décembre 2007 

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19 novembre 2007

Revue de Presse

Femina du 15 novembre 2007 

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04 août 2007

Pulp! dans la presse II


Femina, 5 août 2007. Site intenet de Femina. Cliquer ici pour voir le livre

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